Publications Catherine Gil Alcala

Parution printemps-été 2023

Poème bilingue et dessin de Catherine Gil Alcala dans le numéro de printemps-été Iris & Mêtis.

Couverture illustrée par Catherine Gil Alcala

Parution avril 2023

Publication bilingue Colores Atmosféricos / Couleurs Atmosphériques et dessin « Spectre Solaire » de Catherine Gil Alcala dans Le « Festival International Megalesia 2023 » du Pan Poétique des Muses.

Parution octobre 2022

Publication de Rémanence Intrépide de Catherine Gil Alcala dans le numéro 23 de La revue l’intranquille.

Parution Septembre 2022

Publication dans le Caveau Stéphanois 46 de « Parole de la déesse vivante au colloque mondial sur la fin du monde » et de « La petite fille aux allumettes les yeux plein de mouches… », texte et dessin de Catherine Gil Alcala.

Parution février 2022

Publication Deux poèmes sur la guerre de Catherine Gil Alcala dans Le Pan Poétique des Muses.

Parution septembre 2021

Publication Poème & dessin « Charretière d’Opéra » de Catherine Gil Alcala dans la revue Orientales.

Parution juillet 2021

Publication « El sonámbulo en un rastro de azufre » de Catherine Gil Alcala dans Generación Abierta.

Parution 31 mars 2018

La Foule Divinatoire des Rêves

Poésie

Des parlotes infraliminales dans les rayons du soleil,

un incendie mental traverse l’essaim des âmes

tournoyantes qui s’écroulent sur la terre.

Le sol de l’appartement est recouvert d’insectes.

Une femme parle aux insectes

qui viennent tous dans sa main.

Les vibrations de sa voix induisent

un phénomène mimétique.

Elle s’humecte la peau d’une morsure indicible.

Un scorpion se dissimule dans l’ombre.

Parution janvier 2018

Publication dans la revue Empreintes n° 30 aux éditions de L’Usine de quatre Farces et un dessin de Catherine Gil Alcala.

Parution 7 juin 2017

La Somnambule dans une Traînée de Soufre

Poésie

 

Milliard de la pluie dans les yeux du ciel,

trois araignées esquissent des pas de danse dans l’au-delà,

des ascètes déjeunent de quelques amandes,

une dame vient, elle est nue,

et un faune porte à la table une mandarine pourrie,

des fruits pelés,

un pied de persil,

et une éponge dégoulinant de sang.

Parution décembre 2016

Zoartoïste

Théâtre * poésie
Un rite des morts et des renaissances.
Le flot des vies jaillit du corps morcelé, ensorcelé de Zoartoïste dans les éclats des miroirs.
« Zoartoïste… prononce une voix de noyé dans un rêve, c’est le nom d’une divinité animale du monde archaïque ou d’un démiurge industrieux dans la dent creuse d’une caverne tellurique.
Les esprits s’agitent et vitupèrent autour des dormeurs dans le vacarme de la mort.
Arto l’autiste rase les murs dans un abîme de sons. »

Contes Défaits en Forme de Liste de Courses

Poésie
Tapage des miracles, tourbillon des rêves, des sons, des sens, de la jouissance du langage, de l’érotisme des corps, des désirs de mort, de l’humour grinçant des dents noires de geisha.

Parution 14 janvier 2016

La Tragédie de l’âne

Le Roi aux oreilles d’âne décollées fait assassiner la Reine des oiseaux pour épouser une nouvelle femme déjà enceinte de lui.
Avant de la tuer il lui dit qu’il la fera rôtir pour son repas de noces.
La tête décapitée de la reine jette une malédiction sur tous ceux qui auront mangé sa chair. Les oiseaux de proie déterrent dans l’azur les industries chimériques des guerres…

Les farces philosophiques

Dix-huit piécettes tragi-comiques où le poète et le léopard entament vaguement un duel pour conquérir la géante à la narine de catin et concluent finalement un arrangement amoral… la petite fille aux allumettes vampe le loup-garou pour ne pas être dévorée, mais elle meurt en avalant le paquet d’allumettes… Méphistophélès fait un pacte avec le miséreux sans le damner, etc…

Parution 22 décembre 2015

James Joyce fuit… Lorsqu’un homme sait tout à coup quelque chose

Ça commence par parler, acter sans sujet, par la perte d’identité…
La fuite d’une révélation qui implose, laissant place à l’hallucination dans une ville aux façades de cinéma qui s’effondrent.
Alors il renaît à travers l’amour d’une actrice, réinvente un monde, s’invente des noms de poètes, James Joyce, Henri Michaux, Antonin Artaud, Arthur Rimbaud, comme les fous qui s’appellent Napoléon.

Les Bavardages sur la Muraille de Chine

Lors d’une promenade sur la Muraille de Chine comme sur le fil du rasoir, Buck Mulligan et Humpty Dumpty inventent en « chinois » un dialogue entre James Joyce et Lewis Caroll.
Ils se répandent en bavardages pour tuer le temps ou pour retarder le moment de l’angoisse qui les disloque en une multitude de personnages pour une mise en pièces du théâtre.

Parution avril 2015

Publication « Une Nouvelle ville , vie » de Catherine Gil Alcala dans « Bocal Urbain », Editions de la Gare.

Parution mars 2012

Publication « Dédales riants… » de Catherine Gil Alcala dans le catalogue de l’exposition de Dikran Dadérian à la Galerie Hamazkayin (Liban).